D’une manière étymologique, l’hologramme signifie « toute l’écriture ». Il spécifie une technologie sur laquelle les images peuvent être gravées par lots. Bref, une photo 3D. Habituellement, il s’agit d’un certain rêve avant qu’il ne se réalise pas. En effet, Jules verne évoque l’idée d’images volumétriques dans sa série. Il a donc imaginé une chanteuse morte réapparaissent à travers un ensemble de miroirs habiles, apparaissant fantomatique devant son portrait comme un miroir. Mais comment ça fonctionne la création d’un hologramme ?

Un hologramme : Qu’est-ce que c’est ?

Généralement, un hologramme est tout simplement un produit de l’holographie. Historiquement, il s’agit ici donc d’un procédé en relief de la photographie. Actuellement, il représente plus particulièrement une image en 3 dimensions, qui apparaissent comme étant une suspendue en l’air. En effet, le mot hologramme vient du mot Grec « holos » signifiant « en totalité » et de « graphein » voulant dire « écrire ». C’est bien le cas, car une image sera mise en place intégralement. Il s’agit du soi-disant hologramme, qui est une image en 3 dimensions, se jouant sans aucun support suspendu dans l’air. Il se peut que la personne puisse être un peu déçue, mais les hologrammes ont encore besoin d’une forme de support. Ce que l’on peut voir d’une forme de support, et ce que l’on voit dans les films apparaissant dans « The Complete Void » n’est que de la science-fiction. En effet, le terme hologramme est très souvent utilisé tous les jours pour limiter certains contenus 3D publiés sur des supports 2D. Par conséquent, il est possible d’obtenir un contenu 3D en modifiant la perspective, mais en ne flottant pas dans les airs. La technologie holographique existe ainsi depuis très longtemps dans de nombreux médias quotidiens pour assurer sa sécurité (billets de banque, carte bancaire, etc.). Ils sont suffisamment complexes pour limiter leur reproduction.

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Holographie : Capturer une image en 3 dimensions

Au sens étymologique, l’hologramme réel est une image fixe gravée sur une certaine plaque de support. Avec l’avènement des lasers, cela n’a été possible que dans les années 1960. Cependant, il faudrait utiliser du verre isolant pour diviser le laser en deux faisceaux. Lorsqu’un faisceau est dirigé vers l’objet à holographier, l’autre faisceau est dirigé vers la plaque photographique sur laquelle l’image de l’objet doit être gravée. L’interférence entre l’onde et le laser réfléchie par l’objet permet d’obtenir l’amplitude illuminé de l’objet, de telle sorte qu’il est possible de graver une image en sculpture sur la plaque photographique. Par conséquent, il est nécessaire de saisir deux propriétés physiques, à savoir la cohérence optique et l’interférence des ondes lumineuses. Il faudrait à bien noter que cette technique soit très compliquée, elle ne permet que la création d’images en relief.

Création d’hologramme : comment ça marche ?

Lorsqu’il s’agit d’hologrammes, il serait logique de penser à la projection bleue de la célèbre légende « Star Wars ». Cependant, dans les deux hologrammes, il est impossible de projeter Leïa dans le vide, il y a l’hologramme de Gabor et de Pepper. En effet, un hologramme de Gabor est une image qui contient des données tridimensionnelles. Cette projection est réalisée par holographie, qui est une technique qu’utilisent les ondes pour enregistrer le volume 3D d’un objet. Ceci est souvent appelé un « vrai hologramme ». Cet hologramme existe grâce à l’interférence (une superposition de 2 ondes fermées). Il s’agit donc de projeter un faisceau de lumière sur un objet et une planche en même temps. L’interaction entre les deux ondes créera une sorte d’image tridimensionnelle. Par conséquent, l’hologramme Pepper est dérivé par analogie, et est approprié à toutes les images tridimensionnelles, qui donne l’impression de flotter dans les airs. Pepper’s Ghost rend cette sensation de flottement possible. Ainsi, cette illusion d’optique implique l’utilisation de surfaces réfléchissantes pour donner l’impression d’un objet apparaissant ou disparaissant. Le verre incliné est toutefois invisible aux yeux du spectateur, dont l’illusion est qu’il peut non seulement voir à travers, mais aussi refléter un autre objet qui se cache. En effet, l’holographie est divisée en deux parties : le développement et l’enregistrement, tout comme les photos. « Non seulement il faudrait enregistrer des vagues de l’objet qu’une personne veut montrer, mais il faudrait aussi enregistrer des vagues qui sont nombreuses et peu nombreuses », expliqua brièvement Paul Smigielski. Lorsqu’une photographie enregistre beaucoup d’informations (comme la forme et la couleur), il manque un élément : c’est le volume. Pour cela, un faisceau laser est utilisé, qui est divisé en deux parties lorsqu’il rencontre un demi-miroir. Ainsi, l’un des deux rayons sera dirigé vers l’objet en question, qui réfléchit ses rayons sur une plaque photographique spécifique, tandis que l’autre rayon est tracé directement sur la même plaque. De ce fait, l’interférence entre l’onde déformée par l’objet et l’onde directement déformée permet de reconstruire le volume. Ces différences entre les ondes seront conservées sur la plaque de la photographie, elle contiendra donc toutes les informations nécessaires à la reproduction 3D.

Créer un hologramme : les règles à respecter 

Tous ces aspects techniques ne sont pas suffisants pour produire une excellente illusion. La création d’un hologramme suit toujours certaines règles. Par exemple, on comprend qu’une fois l’écran (verre ou gaze) visible, l’illusion n’est plus vraie, car le secret de l’hologramme est de voir l’image tracée sans trier l’écran. Lorsque l’image projetée est trop grande pour dépasser le cadre de l’écran, puis apparaît sous la forme d’un rectangle aux yeux du spectateur, l’effet est détruit. Il est important de ne pas à ne pas projeter d’informations holographiques qui englobent la largeur de l’écran et exposent donc ses bords. Il n’y a pas de décoration d’arrière-plan dans l’hologramme, seulement des thèmes strictement définis. De même, il faut entourer toujours soigneusement l’objet d’un espace négatif (noir) afin que la ligne de visée disparaisse entre l’hologramme et l’objet derrière lui.